Je n'ai pas résisté à l'envie de venir voir comment ça se passe en Italie. Ainsi, je suis parti à Sala consilina, pour voir ma famille malgré le Japon qui approche à grand pas. En
effet, il ne reste plus au'une dizaine de jour avant le grand départ pour le pays du soleil levant, c'est pas tout mais il faudra quand meme le préparer puisque j'y reste 3 mois (mais de tout
façon je sais que je vais etre mauvais...).
Merveilleux, ils ont enfin fait un train direct de Nice à Naples: ça change la vie!
Je me suis retrouvé avec trois jeunes qui devait s'arreter à Rome. Ils étaient debout (enfin lui) à Roma Tuscolana, c'est-à-dire 5 minutes avant l'arrivée, vers 7h. Vers 8h30, il s'est relevé et
ils ont tous gagné un nouveau voyage vers Rome. Merci d'avoir été bon.
Une fois à Naples, comme d'habitude, je me suis arreté pour manger une pizza Da Michele, qui est, inutile de le rappeler la meilleur pizzeria du monde. Quand on voit le menu
On est dégouté d'habiter en France: 4 Euros 50 la double mozzarella.
Aprés une succulente double mozzarella, il y avait le patron et j'ai fait une photo avec lui.
Et quelqu'un qui connait Maradona, mérite forcement le respect
On a parlé, il connait bien la France, puisque sa femme était française (de Montpellier en plus), et il il m'a promis une pizza spéciale pour Samedi soir pour honorer la commande
qui vient de France.
Ensuite, j'ai fait un tour à Naples où j'ai pris quelques photos, voici San Gregorio Armeno celèbre dans le monde entier pour les crèches de Noel
J'ai fait un petit tour Via Ottavio Tupputti, pour voir ce qui a changé car j'y ai passé un an quand j'étais en Erasmus à Naples et il n'en reste que des bons souvenirs. C'est tout au bout de Spaccanapoli, la rue la plus connu de Naples qui partage le centre historique en deux, une rue typique de Naples.
On traverse la route et on arrive sur Forcella, un des quartiers le plus connu de Naples grace à ces trafics et ces personnages peu recommendable...
Et je suis allé mangé ma glace: Banane, citron, comme d'habitude...
Et tout ça avec le Vésuve en toile de fond
Enfin, je suis rentré vers Sala, tout ça c'était avant le drame bien attendu, puisque le train a 50 minutes de retard, une fois à Battipaglia à 16h10, le bus était parti: le
suivant n'est qu'à 21h30....
Je me retrouve, dans un train pour Buccino avec Renato, que j'ai rencontré dans le train car ça me rapproche de Sala. Seulement une fois là-bas c'est pas gagné puisqu'il reste encore 40 bornes
avant d'arriver, et il va falloir faire du stop. Je viens de faire 1200 bornes, mais ce sont toujours les dernières qui sont le plus difficiles!
Aprés une bonne demi-heure à attendre, je commence à ne plus y croire, quand un nouveau miracle s'accomplit: une voiture s'arrete, il est pret à m'amener jusqu'à Sala (je suis sauvé!). Mais dans
la voiture il me dit: je te connais, j'ai meme dormi chez toi, tu me reconnais?
je lance la machine à réflechir, fait un petit voyage dans le temps et retombe sur Vincenzo, un copain de Toni quand il était venu en France.
Encore une fois, j'ai eu du bol !!!
Une fois arrivé, tous le monde étaient content de me voir, et moi aussi!
Quelques photos de Sala Consilina, petit village perdu au coeur des montagnes où il y a toute ma famille. J'y ai passé toute les vacances quand j'étais petit (jusqu'à 16 ans).
Voici la Fiat 500, meilleure representante de l'Italie d'une certaine époque, il en reste pas mal encore (on a la chance d'en avoir une).
Et mon petit cousin (desolé pour les autres mais j'aime beaucoup la photo)
